Le FEMI fait son cinéma dans plusieurs communes de Guadeloupe, jusqu’au 4 février 2011

Le FEMI fait son cinéma dans quatorze  communes de Guadeloupe jusqu’au 4 février 2011. Dans le même temps, trois sites permanents accueillent le MIF-TC (Marché International du Film et de la Télévision Caribéen) et les compétitions : l’espace régional du Raizet, la salle Robert Loyson du Moule et le ciné théâtre du Lamentin. Les journées FEMI se sont aussi les projections en plein air qui verront s’installer le festival de 9 h à 22 h à, Gourbeyre (le 1er février), Morne à l’Eau (le 2 février) et enfin à Goyave et Vieux Habitants (le jeudi 3 février).

Les projections en soirée (séances sont programmées de 18 h à 22 h)
– Mardi 1er février 2011 – 19 h 30 à Sainte-Anne – Pôle technologique de Douville
– Mercredi 2 février 2011 – 19 h à Gosier – Médiathèque Georges Nicolo
– Mercredi 2 février 2011 – 18 h à Port-Louis – Beauport (Pays de la canne)
– Mercredi 2 février 2011 – 19 h 30 à Sainte-Anne – Pôle technologique de Douville
– Jeudi 3 février 2011 – 19 h à Trois-Rivières – Bibliothèque Péronne Salin
– Vendredi 4 février 2011 – 20 h à Gosier – Mairie
– Vendredi 4 février 2011 – 19 h 30 à Sainte-Anne – Pôle technologique de Douville

© je vous aime très beaucoup

Le programme du FEMI dans la ville :
Mardi 1er février
Mairie Gourbeyre
ORPAILLEUR de Marc Barrat, 19 h – séance tout public
18 ans après avoir quitté sa terre natale, Rod, jeune parisien d´origine guyanaise, rentre au pays suite à la disparition de son frère aîné…

Pôle Technologique de Douville, Sainte-Anne
CLEVELAND CONTRE WALL STREET, de Jean-Stéphane Bron, 19 h 30 – séance tout public
Le 11 janvier 2008, Josh Cohen et ses associés, avocats de la ville de Cleveland, assignent en justice les 21 banques qu’ils jugent responsables des saisies immobilières qui dévastent leur ville. Mais les banques de Wall Street qu’ils attaquent s’opposent par tous les moyens à l’ouverture d’une procédure. Un procès de cinéma, dont l’histoire, les protagonistes et leurs témoignages sont bien réels. Ce film est sobre, honnête et émouvant.

Mercredi 2 février
Morne à l’Eau
KERITY, LA MAISON DES CONTES, 9 h, séance scolaire (primaires)
JE VOUS AIME TRÈS BEAUCOUP, de Philippe Locquet et avec Firmine Richard, 19 h 30 – Ciné Klendenden cinéma en plein air) « Lucioles et Clair de lune »
Au premier rang de l’église du village, trois petits gars au regard fermé s’observent en coin. Paul, 16 ans, l’allure soignée et le port de tête altier, se demande ce qu’il peut avoir en commun avec ce garçon de 15 ans aux cheveux ébouriffés et au visage usé, Marty.

Médiathèque Georges Nicolo, Gosier
CLEVELAND CONTRE WALL STREET de Jean-Stéphane Bron, 19 h

La buena vida

Beauport – Pays de la Canne, Port-Louis
Projections scolaires, 9 h
LA BUENA VIDA d’Andrès Wood
10 h 30 – Projection scolaire
18 h – Projection grand public
Quatre personnages se croisent dans un Santiago où l’on ne se mélange guère…

Pôle Technologique de Douville, Sainte-Anne
JE VOUS AIME TRÈS BEAUCOUP, de Philippe Locquet, 19 h 30

Jeudi 3 février
Vieux-Habitants
JE VOUS AIME TRÈS BEAUCOUP, de Philippe Locquet, 19 h 30 – Ciné Klendenden, cinéma en plein air

Goyave
ORPAILLEUR de Marc Barrat, 19 h 30 – Ciné Klendenden, cinéma en plein air

Beauport – Pays de la Canne, Port-Louis
9 h – 10 h et 14 h : Projections scolaires
MÉMOIRE D’UN AFRO PÉRUVIEN de Jovita Andrade Maeder
Rolando, un Afro-Péruvien du Guayabo-Chincha, raconte l’histoire de ses ancêtres, des esclaves africains : leur arrivée au Pérou, les luttes permanentes des Cimarrones pour la liberté´des esclaves noirs et l’indépendance du Pérou, la persistance de leur culture d’origine, les métissages.

Projections scolaires, 9 h
LA BUENA VIDA, d’Andrès Wood, 10 h 30

Bibliothèque Peronne Salin, Trois-Rivières
CLEVELAND CONTRE WALL STREET de Jean-Stéphane Bron, 19 h

Vendredi 4 février
Mairie du Gosier
JE VOUS AIME TRÈS BEAUCOUP, de Philippe Locquet, 20 h

Pôle Technologique de Douville, Sainte-Anne
SOUVENIRS ENCOMBRANTS D’UNE FEMME DE MÉNAGE de Dani Kouyate, 19 h 30, séance tout Public
Française mais noire, libre mais descendante d’esclave, chrétienne mais marquée par une histoire de sorcellerie, voici l’héritage de Thérèse Bernis Parise, née en 1920 au Gosier en Guadeloupe.

Le FEMI dans les murs, c’est aussi :
Trois projections au centre pénitentiaire de Baie-Mahault, prévues les 1er, 3 et 4 février à 14 h :
– J’AI OUBLIE DE TE DIRE, de Laurent Vinas Raymond
Récemment sortie de prison, Marie, une jeune fille sans passé ni avenir, se rend dans le sud de la France pour y effectuer quelques travaux saisonniers. C’est là qu’elle fait la rencontre de Baptiste, un vieil homme, ancien champion cycliste devenu artiste peintre.
– JE NE VEUX PAS TRANSMETTRE LE VIH SIDA A MON ENFANT, d’Arnold Antonin
– JE VOUS AIME TRÈS BEAUCOUP, de Philippe Locquet
Au premier rang de l’église du village, trois petits gars au regard fermé s’observent en coin. Paul, 16 ans, l’allure soignée et le port de tête altier, se demande ce qu’il peut avoir en commun avec ce garçon de 15 ans aux cheveux ébouriffés et au visage usé, Marty.
– LE PRÉSIDENT A-T-IL LE SIDA ? d’Arnold Antonin
Le président dont il est question n’est autre qu’un chanteur lead d’un groupe « compas » du nom de Dao (Jimmy Jean-Louis). Chanteur de charme, le plus populaire du moment, il draine les filles, boit et sniffe. Souffrant de fièvres récurrentes, il croit qu’elles sont dues aux persécutions maléfiques des autres musiciens, jaloux de son succès. Il ne prend aucune précaution dans ses ébats sexuels, ses partouzes, car il se croit protégé par les « lwa ».
La projection sera suivie d’un débat avec le réalisateur Arnold Antonin.

Une projection à la maison d’arrêt de Basse-Terre – le mercredi 2 février à 14 h
– LE PRÉSIDENT A-T-IL LE SIDA ? d’Arnold Antonin

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *