Salsa, calypso, reggae, etc. au coeur des Nuits du sud à Vence le 28 juillet

Renegades Steel Orchestra
Renegades Steel Orchestra

Nouveau rendez-vous européen pour les Renegades Steel Orchestra : après la Suisse et le 36e Paléo Festival de Nyon, les musiciens investiront les Nuits du sud le jeudi 28 juillet 2011, à partir de 20 h 30. Le festival Nuits du Sud de Vence (à 30 km de Nice) accueille un grand nombre d’artistes depuis le 7 juillet et fait vivre le sud aux rythmes des diverses musiques du monde.

Jeudi 28 juillet, Renegades Steel Orchestra – un concert made in Trinidad and Tobaggo
Venus de Trinidad, les musiciens de Renegades Steel Orchestra produisent des rythmes et des sons incroyables. De la Calypso, qui fait partie intégrante de leur patrimoine musical, en passant par le reggae et la samba, mais aussi les grands classiques caribéens. Tout y passera avec en prime, c’est certain, une irréfutable envie de danser qui ne manquera pas de s’emparer du public. Chacune des sorties de ces vingt musiciens qui tiennent une place importante dans le paysage artistique de leur pays est un événement. Cela se vérifie notamment au moment du carnaval de Trinidad.

Cet orchestre traditionnel venu tout droit de Trinité rassemble une vingtaine de musiciens capables de jouer aussi bien du Bob Marley que du Bach à partir de bidons de pétrole. Leurs fonds de tonneau métalliques, ou « pans » incrustés de petites cavités imitent n’importe quel instrument en dégageant une gamme de notes variées. En véritable virtuoses, ils se baladent avec facilité entre salsa et calypso, samba et reggae, soca et merengue… Un plaisir pour les yeux et surtout pour les oreilles.

Ils participeront également au Festival du Bout du Monde qui se déroulera le dimanche 7 août 2011, sur la Presqu’île de Crozon en Bretagne.

Vendredi 29 juillet, le Spanish Harlem Orchestra et sa salsa dura, à partir de 22 h
Avec plus de dix ans d’existence le Spanish Harlem Orchestra s’est imposé comme l’une des plus authentiques formations de jazz salsa proposant, notamment dans son dernier album, un mélange de salsa dura et de de ballades mélancoliques qui ramènent aux meilleures années de la musique caribéenne, loin des rythmes et intonations commerciales d’aujourd’hui. Un choix qui les place en position de force chez les amoureux de leur musique, une position qu’il garderont sans doute longtemps. Ils considèrent eux-mêmes primordial de « préserver cet héritage et de le présenter à de nouveaux publics. C’est plus important que d’être la saveur musicale du mois... » Outre la place à part que le Spanish Harlem Orchestra occupe dans le cœur des connaisseurs, il s’est également fait remarquer auprès de nombre d’artistes de renom qu’il a accompagnés.

Enseigne de la musique latine contemporaine, Spanish Harlem Orchestra, pour les intimes SHO, est un groupe créé en 2000 par Aaron Levinson et Oscar Hernández, deux géants de la salsa. Récemment primé, pour la deuxième fois, aux Grammy Awards, ce groupe connaît un succès sans équivoque. Bercé par une culture musicale hispanique dans le quartier d’Harlem, cette version new-yorkaise de la salsa dura est sans nul doute l’un des combos les plus redoutables et authentiques du latin jazz d’aujourd’hui.

Et le vendredi 5 août, Juan De Marcos Afro-Cuban All Stars, à partir de 22 h

La genèse de l’Afro-Cuban All Stars a ses racines au début des années 1990…
Afro-Cuban All Stars est un orchestre unique qui a toujours oeuvré pour la promotion de la musique cubaine dans son ensemble et qui embrasse plusieurs générations et de styles musicaux. Au cours des années, certains musiciens du groupe sont devenus des stars internationales, parmi lesquels Rubén González, Ibrahim Ferrer, Guillermo Rubalcava, etc.

Cet orchestre né de la volonté de Juan de Marcos Gonzalez réunit les plus grands musiciens cubains. En 1996, ils enregistrent les albums « Buena Vista Social Club » ainsi que le premier opus « Afro-Cuban All Stars ». Leur succès planétaire est immédiat. Leur fusion avec quelques virtuoses africains leur permet d’enrichir davantage leur univers. Le résultat de cet embrasement culturel n’est autre qu’une magnifique évasion du boléro à la salsa, de la rumba au chachacha, de l’Afrique à Cuba.

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