La série documentaire « Vu sur terre » zoome sur le Surinam

Lundi 1er août à 21 h 40, France 5 guidera les téléspectateurs à travers la forêt amazonienne via le Suriname, l’un des trois pays du plateau des Guyanes. Un film qui propose de plonger au cœur de ce pays situé sur le littoral de l’océan Atlantique et d’une région dont la riche biodiversité inspire défenseurs et amoureux de la nature.

Le documentaire de Laurent Cadoret parcourt les itinéraires et les destinées de trois personnages impliqués dans la préservation de ce territoire tropical et qui agissent pour le dévoiler aux yeux du plus grand nombre. Sa diffusion constitue une nouvelle occasion d’approcher, à travers la série « Vu sur terre », la générosité de la nature dans cette partie du monde.

C’est un des pays les plus verts de la planète, un eldorado de rivière et de forêt où tout semble possible. En Amazonie, le Surinam est un des derniers Far West, territoire des orpailleurs clandestins. Pour les amoureux de la nature, ce petit pays est une mine d’or et de diversité, à l’image de son peuple, un des plus métissés. Au cœur de l’Amazonie, il n’y a que l’avion ou la pirogue pour s’enfoncer dans la forêt infinie où plane comme un parfum d’aventure.

Fabian Vas est un buru, un blanc du Surinam, descendant de colons hollandais. Après mille métiers, Fabian a décidé de capturer la beauté de son pays méconnu. Fabian aime le monde sauvage, l’exploration de terres inconnues, la photographie et les gens qu’il croise dans sa vie. Il s’est fait un nom dans ce petit pays bordé d’un côté par l’Amazonie et de l’autre par les eaux chaudes de l’Océan Atlantique. Dans les tribus de l’Amazonie, le docteur arrive toujours pas la voie des airs, et jamais les mains vides.

A 35 ans, Rosanne Peuscher est le seul docteur volant du Surinam. Elle travaille pour Medishe Zending, une mission médicale et humanitaire. Elle se déplace en avion pour venir en aide aux populations amazoniennes, isolées au cœur de l’immense forêt tropicale.

Monique Pool est une héroïne dans son pays car elle défend l’animal emblématique de l’Amazonie : le paresseux. Le jardin de Monique est une petite arche de Noé, un abri pour les animaux les plus fragiles de la forêt. Elle héberge des paresseux mais aussi des porcs-épics, des fourmiliers et un tamanoir géant. Son action bénévole lui a valu d’être nominée pour l’élection de la personnalité de l’année par la chaîne américaine CNN.

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